mercredi 27 février 2008
mercredi 20 février 2008
on fait rien de nos journées
taking notes.
Je suis dans une quête sans fin de bonheur (le bonheur c'est superflu)
Je suis dans une quête sans fin d'argent (jamais au grand jamais)
Je suis dans une quête sans fin de beauté (et ça change tous les jours..)
Je suis dans une quête sans fin de moi-même (je ne me trouverai jamais)
Let's go driving just for today [?]
Je me demande ce que je fais de ma vie des fois.. baaaa
Je suis dans une quête sans fin d'argent (jamais au grand jamais)
Je suis dans une quête sans fin de beauté (et ça change tous les jours..)
Je suis dans une quête sans fin de moi-même (je ne me trouverai jamais)
Let's go driving just for today [?]
Je me demande ce que je fais de ma vie des fois.. baaaa
mardi 19 février 2008
le poète
Avant je circulais dans la vie, un amour
douloureux m'entourait: avant je retenais
une petite page de quartz
en clouant les yeux sur la vie.
J'achetais un peu de bonté, je fréquentais
le marché de la jalousie, je respirais
les eaux les plus sourdes de l'envie,l'inhumaine
hostilité des masques et des êtres.
Le monde où je vivais était marécage marin:
le fleur brusquement, le lis tout à coup
me dévorait dans son frisson d'écume,
et là où je posais le pied mon coeur glissait
vers les dents de l'abîme.
Ainsi naquit ma poésie, à peine
arrachée aux orties, empoignée sur
la solitude comme un châtiment,
ou qui dans le jardin de l'impudeur en éloignait
sa fleur la plus secrète au point de l'enterrer.
Isolé donc comme l'eau noire
qui vit dans ses couloirs profonds,
de main en main, je coulais vers l'esseulement
de chacun, vers la haine quotidienne.
je sus qu'ils vivaient ainsi, en cachant
la moitié des être, comme des poissons
de l'océan le plus étrange, et j'aperçus
la mort dans les boueuses immensités.
La mort qui ouvrait portes et chemins.
La Mort qui se faufilait dans les murs.
(extraits: Chant général, Les fleurs du Pinataqui, p.381
Gallimard, Collection Poésie.)
douloureux m'entourait: avant je retenais
une petite page de quartz
en clouant les yeux sur la vie.
J'achetais un peu de bonté, je fréquentais
le marché de la jalousie, je respirais
les eaux les plus sourdes de l'envie,l'inhumaine
hostilité des masques et des êtres.
Le monde où je vivais était marécage marin:
le fleur brusquement, le lis tout à coup
me dévorait dans son frisson d'écume,
et là où je posais le pied mon coeur glissait
vers les dents de l'abîme.
Ainsi naquit ma poésie, à peine
arrachée aux orties, empoignée sur
la solitude comme un châtiment,
ou qui dans le jardin de l'impudeur en éloignait
sa fleur la plus secrète au point de l'enterrer.
Isolé donc comme l'eau noire
qui vit dans ses couloirs profonds,
de main en main, je coulais vers l'esseulement
de chacun, vers la haine quotidienne.
je sus qu'ils vivaient ainsi, en cachant
la moitié des être, comme des poissons
de l'océan le plus étrange, et j'aperçus
la mort dans les boueuses immensités.
La mort qui ouvrait portes et chemins.
La Mort qui se faufilait dans les murs.
(extraits: Chant général, Les fleurs du Pinataqui, p.381
Gallimard, Collection Poésie.)
dimanche 17 février 2008
vendredi 15 février 2008
la vie c'est définitivement trop court.
À jamais dans nos pensées...
J'espère que tu es mieux, et beaucoup plus heureuse là où tu es.
J'espère aussi que tu sais que tu as été aimée, adorée et admirée jusqu'à la fin.
Tu seras toujours une source d'inspiration pour nous toutes, pour moi..
Gentillesse, force, intelligence et beauté. Tu étais tout ça et tu le seras toujours.
On ne t'oubliera jamais Léa.
À bientôt
xo
amour
~when no one is around, love will always love you
samedi 9 février 2008
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